2 avril 2009
suite 2...
Plus le paysage devenait aride, je savais que je quittais pour un an, papillons, salamandres, diticks, neps, belettes, fossiles…
Mais surtout, et je le sais plus que tout aujourd’hui, alors que le mot congé a remplacé à jamais celui de vacances, que ces moments libres à courir dans les bois du LAC d'ANTRE marqués par le tintement d’une cloche nous appelant pour le repas du midi, étaient menés par un chef d’orchestre remarquable, Maman.
Maman a écrit sur une portée de mon enfance un mot auquel je suis viscéralement attaché, LIBERTE, la liberté de se mouiller les pieds, la liberté d’apprendre, merci.
A suivre…
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